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L'avenir des CSST préoccupe les sénateurs

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Etudier l'évolution des politiques publiques de lutte contre la toxicomanie, la détention, la consommation, la vente et le trafic de stupéfiants. Tel est l'un des objectifs de la commission d'enquête sur la politique nationale de lutte contre les drogues illicites créée, le 12 décembre, par le Sénat, à la suite de la proposition de Bernard Plasait et Henri de Raincourt, tous deux sénateurs UMP respectivement de Paris et de l'Yonne. L'instance, qui s'intéressera également à la définition des drogues et de leurs effets sur la santé des consommateurs, doit rendre ses conclusions dans les six mois.Plus spécifiquement, elle devrait se pencher sur « l'adaptation et les besoins des centres spécialisés de soins aux toxicomanes (CSST) et des établissements sanitaires ainsi que la possibilité d'étendre la gamme de ces établissements ». Pour mémoire, la loi du 31 décembre 1970 a fixé un objectif de gratuité des soins et de prise en charge anonyme des toxicomanes souhaitant entrer dans un dispositif de sevrage, cette prise en charge médico-sociale étant confiée aux CSST. Par ailleurs, la loi du 2 janvier 2002 rénovant l'action sociale et médico-sociale a regroupé ces centres avec les centres de…
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