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Promouvoir une culture de la vigilance

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« Primum non nocere »  : d'abord ne pas nuire, c'est a minima ce que l'on peut attendre des institutions sociales et médico-sociales accueillant des publics vulnérables. Aussi est-il difficile d'admettre la réalité de violences, dont elles peuvent être la source ou le théâtre. Au-delà de cette prise de conscience, aujourd'hui réelle, les politiques et les professionnels essaient de promouvoir une démarche active de « bientraitance ». Qui exige d'interroger de façon systématique la qualité des prises en charge.
« Je pense que toute institution sécrète la violence. Il faut qu'on se le dise, il faut que l'on comprenne que c'est quasi naturel », explique inlassablement Stanislaw Tomkiewicz, directeur de recher- che honoraire à l'Institut national de la santé et de la recherche médicale. « Ce qui n'est pas naturel, c'est une institution non violente. Aussi devons-nous toujours exercer une vigilance minutieuse pour éviter la violence dans les institutions. » De tels propos ne valent plus au pédopsychiatre de « volée de bois vert », à la différence de ce qui se passait dans les années 70 lors- qu'il les tenait. Bien sûr, ajoute-t-il, il est…
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