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« On souffre et on meurt de misère toute l'année », rappelle la FNARS

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« Mettre à l'abri les personnes à la rue est louable et humanitaire... mais ne pas se donner les moyens d'un accueil et d'une insertion de qualité, c'est prendre le risque de les remettre à la rue au printemps », souligne la Fédération nationale des associations d'accueil et de réinsertion sociale (FNARS) (1), à la suite de la présentation, le 5 décembre, par Dominique Versini, du plan d'accueil d'urgence hivernal pour les sans-abri (2). « On souffre et on meurt de misère toute l'année, à la rue et ailleurs », rappelle la FNARS, qui regrette que les subventions de ses associations « se limitent trop souvent au seul hébergement collectif, sans moyens suffisants pour soigner, orienter, accompagner vers la vie normale... ». Estimant que c'est « plutôt le budget 2003 qui concrétisera la volonté du gouvernement et des élus de la nation », elle déplore que le projet de loi de finances ne prévoie que 500 nouvelles places en centres d'hébergement et de réinsertion sociale, alors que 15 000 lui semblent nécessaires. Et elle réitère sa demande, partagée avec le collectif Alerte, d'une loi de programmation budgétaire prévoyant les crédits indispensables à la lutte contre l'exclusion sur trois…
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