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La RATP supprime la condition de nationalité pour ses emplois statutaires

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Deuxième brèche dans le front des 7 millions d'emplois, ou presque, interdits partiellement ou totalement aux étrangers non communautaires, dont 6 millions environ dans les trois fonctions publiques, les entreprises publiques sous statut, les établissements publics industriels... Après la suppression de toute condition de nationalité pour les recrutements dans les organismes de sécurité sociale entérinée en octobre 2001 par une circulaire d'Elisabeth Guigou, alors ministre de l'Emploi et de la Solidarité (1), c'est au tour de la RATP d'ouvrir l'accès à ses 39 000 emplois aux ressortissants de pays n'appartenant pas à l'Union européenne. Cette décision, annoncée officiellement le 4 décembre, a été rendue possible par l'adoption de nouveaux statuts, arrêtés en mars 2002 après plusieurs réunions d'une commission mixte réunissant direction de l'entreprise et organisations syndicales. Le ministre des Transports les a avalisés en septembre. « Ce qui peut être fait à la RATP aujourd'hui devrait maintenant être étendu à tous les autres secteurs économiques », estime le Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples, qui, au printemps 2001, avec une vingtaine d'autres organisations…
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