Cette fois, le gouvernement doit agréer l'accord, insistent les partenaires sociaux de la BAD
Article réservé aux abonnés
Publié le : Dernière Mise à jour : 04.08.2017Lecture : 2 min.
« Nous sommes allés a u bout du bout de ce qui était acceptable. Nous ne bougerons plus », prévient Maryvonne Nicolle, secrétaire nationale de la CFDT Santé-sociaux. « Nous avons atteint la dernière limite de la patience. Nous n'entrerons plus dans de nouvelles négociations », assure aussi Elisabeth Merle, directrice générale de l'Adessa. « Nous sommes dans les temps, nous avons fait tous les efforts possibles et assumé nos responsabilités. Cette fois, le gouvernement doit agréer l'accord avant le 31 décembre. La lettre ministérielle du 27 septembre est un engagement. Nous en- tendons qu'il soit respecté », ajoute Emmanuel Verny, directeur général de l'Unassad. Un coût raboté de 2 % Tenant pour la première fois une conférence de presse commune le 10 décembre, les partenaires sociaux de l'aide à domicile - du moins les signataires de l'avenant du 4 décembre à l'accord du 29 mars 2002 sur les emplois et les rémunérations, soit cinq fédérations d'employeurs sur six et quatre organisations syndicales sur six (voir ce numéro) - ont martelé leur volonté d'obtenir enfin l'agrément de ces textes, pierre angulaire de la future convention collective unique de la branche.Dans leur lettre…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques