Excédents de la branche famille et tutelle au cœur des préoccupations de l'UNAF
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Publié le : Dernière Mise à jour : 02.08.2017Lecture : 2 min.
« Nous attendons un changement de cap du gouvernement. Que celui-ci engage une véritable négociation sur l'utilisation des excédents de la branche famille », a déclaré, le 14 novembre, Hubert Brin, président de l'Union nationale des associations familiales (UNAF) (1), peu avant de rencontrer Jean-Pierre Raffarin. L'organisation avait manifesté sa totale opposition au projet de loi de financement de la sécurité sociale qui prévoit la ponction de 946,65 millions d'euros sur la branche famille au profit du Fonds de solidarité vieillesse (2). « La négociation est d'autant plus nécessaire qu'il faudra mobiliser des ressources pour l'allocation de libre choix », explique Hubert Brin.Parmi les autres sujets de préoccupation figure la rénovation du droit de la famille, abordée « de façon morcelée » à travers l'adoption de nombreux textes législatifs et réglementaires. L'UNAF demande que le gouvernement l'envisage « dans un cadre cohérent ». Et surtout qu'il sorte d'une approche uniquement focalisée sur la fonction parentale en prenant en compte également la fonction conjugale. Sur le divorce - objet d'une proposition de loi -, Hubert Brin souhaite le dépôt d'un projet « mûrement préparé…
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