Face à l'ouverture du marché, concurrences et/ou complémentarités ?
Article réservé aux abonnés
Publié le : Dernière Mise à jour : 02.08.2017Lecture : 13 min.
Alors qu'avec le chantier de la décentralisation se profile un nouvel acteur, la région, les centres de formation en travail social doivent partager leur territoire avec les universités, les employeurs et les opérateurs de la formation continue pour faire face aux nouveaux besoins. A l'Etat d'éviter que cette redistribution des cartes n'aboutisse à brader le dispositif de formation.
Déstabilisé, le secteur de la formation ? Ou bien en train de se recomposer à l'aune des ondes de choc qui parcourent le champ de l'action sociale ces dernières années ? Sans doute un peu tout cela à la fois. De fait, les acteurs traditionnels- organismes de formations initiale et continue, services de l'Etat, universités - accompagnent, qu'ils le veuillent ou non, la métamorphose du paysage social. Incontournable pour les uns, douloureuse pour les autres, forcément risquée. Cette nouvelle donne les oblige à se repositionner et à composer de nouvelles alliances, à concevoir d'autres stratégies pour devancer ou contrer les pressions de nouveaux partenaires et réguler le jeu d'une concurrence qui dit enfin son nom.De nombreux coups de boutoirCes deux dernières…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques