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« Penser l'éducation spécialisée, aujourd'hui et demain »

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En écho à une récente tribune libre publiée dans nos colonnes, Didier Bertrand, éducateur spécialisé, explique que les professionnels « ne sauraient faire l'économie de leur propre souffrance au travail » au motif d'avoir à apaiser celle des autres. Pour lui, il convient de « réaffirmer des identités professionnelles malmenées ».
« Dans sa tribune libre intitulée “Quand l'organisation du travail conduit à l'épuisement professionnel”   (1), Marie-France Custos-Lucidi vient opportunément rappeler que “le sentiment de non-reconnaissance du travail accompli, l'absence de définitions de fonction, le déni des savoirs propres des professionnels participent de la charge psychique de travail”. L'éducation spécialisée et les éducateurs spécialisés ne sauraient faire l'économie de leur propre souffrance au travail, avec ses incidences tant professionnelles que personnelles, sous prétexte d'avoir pour “mission” d'apaiser la souffrance de l'autre, qu'elle soit psychique, physique, sociale, économique...Une identité professionnelle questionnéeEn 1972, dans une recherche sur l'identité professionnelle de l'éducateur spécialisé (2), Paul…
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