Recevoir la newsletter

Créer une nouvelle possibilité de levée du secret professionnel : « superflu », voire « dangereux »

Article réservé aux abonnés

Selon nos informations, le gouvernement se proposerait d'intégrer, dans son projet de loi sur la sécurité intérieure (1), une disposition venant modifier l'article 226-14 du code pénal et dépénalisant la rupture du secret professionnel auquel sont tenus les personnels de la santé et de l'action sociale lorsqu'ils « informent l'autorité préfectorale de la dangerosité des personnes qui les consultent et dont ils ont connaissance qu'elles détiennent ou sont susceptibles de détenir une arme ». Interrogée par les ASH, l'Association nationale des assistants de service social (ANAS)   (2) s'oppose à ce projet. Les explications de son président, Didier Dubasque.
« Ce projet de modification du code pénal nous inquiète vivement, car il remettrait en cause le secret professionnel sous couvert de “dangerosité”, une notion particulièrement floue et subjective qui permet tous les excès. Dans le contexte actuel de médiatisation d'affaires mettant en cause des personnes visiblement déséquilibrées, il ne faut pas céder à l'émotion. Chaque fois, les services de police connaissaient…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Questions à

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur