Publié le : Dernière Mise à jour : 03.08.2017Lecture : 4 min.
L'évaluation de cinq centres locaux d'information et de coordination (CLIC), confiée au début de l'année par la direction générale de l'action sociale à l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), est achevée (1). Portant sur les centres de Marseille, de la Creuse Est, de l'arrondissement de Lunéville, de Lorient et des Portes de l'Essonne, tous issus de la première vague de labellisation en 2000 (2), elle fait apparaître certaines faiblesses - malgré des acteurs de terrain « très motivés » - de ces structures censées favoriser la coordination des aides autour de la personne âgée. Les médecins peu présents Premier risque recensé par les chercheurs, celui de « renoncer de fait à la composante sanitaire de la coordination » face aux difficultés àmobiliser les acteurs médicaux, « en particulier libéraux ». Cette tendance à laisser la coordination se faire avec les seuls acteurs du secteur social està relier avec la prédominance des qualifications du secteur du travail social parmi les personnels des CLIC : ceuxétudiés emploient tous ensemble huit assistantes sociales et conseillères en économie sociale et familiale, trois psychologues, deux ergothérapeutes,…
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