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Sans-papiers : les associations déçues par le maintien du cas par cas

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Test réussi pour la mobilisation des sans-papiers. Le 7 septembre, ils étaient entre 6 500 (selon la police) et 12 000 (selon les organisateurs) à manifester à Paris à l'appel de la coordination nationale, et plusieurs centaines à Rennes et à Lyon. Leur objectif : obtenir une régularisation massive... à laquelle le gouvernement s'oppose toujours fermement. Comme Nicolas Sarkozy l'a d'ailleurs rappelé, le 5 septembre, à une délégation d'associations et d'intellectuels signataires d'un appel à la régularisation, lancé à l'initiative du Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (MRAP) et de la Ligue des droits de l'Homme  (LDH)   (1).Les mesures annoncées (2) sont accueillies diversement par les associations. Le MRAP et la LDH estiment qu' « en laissant aux préfectures le soin de traiter les milliers de cas en suspens », le gouvernement risque de prolonger « l'arbitraire et l'incohérence qui président à l'examen des dossiers de sans-papiers ». Toutefois, notent les deux organisations, « la création d'une mission chargée d'harmoniser l'application des dispositions légales en vigueur constitue un progrès ». Le minis- tre de l'Intérieur a d'ailleurs pris l'engagement,…
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