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Les associations exigent des mesures concrètes pour les demandeurs d'asile

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A la suite du sommet européen de Séville (1), la Fédération nationale des associations d'accueil et de réinsertion sociale (FNARS) (2) et France terre d'asile (3) regrettent que les débats aient essentiellement porté sur la lutte contre l'immigration clandestine et la gestion des frontières, « dans une volonté d'en renforcer l'étanchéité » et n'aient traité que très rapidement « la situation sociale catastrophique de dizaines de milliers de personnes en demande d'asile, en attente de régularisation ou en situation irrégulière ». « Il est urgent que l'ensemble des Etats membres -qui ont adopté ensemble en décembre 2000 la “charte des droits fondamentaux” - prennent rapidement des mesures concrètes et visibles pour le respect effectif de ces droits », poursuivent-elles. Les associations exigent une nouvelle fois que la France plafonne à six mois la durée des procédures - qui peuvent dépasser deux ans - et redonne le droit de travailler aux candidats au statut de réfugié.Ces deux revendications figurent, par ailleurs, parmi les « demandes prioritaires » visant à remédier à la situation actuelle des demandeurs d'asile dans l'Hexagone, rendues publiques par le collectif Alerte à l'occasion…
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