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Les ateliers protégés veulent se rapprocher du droit commun

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Réaffirmant son souhait de voir évoluer l'atelier protégé vers un nouveau statut d'entreprise adaptée, le GAP-UNETA, réuni en congrès à Valence du 5 au 7 juin, souhaite expérimenter ses propositions, explique son nouveau président, Désiré Mahé, P.-D.G. d'Aprobois, un atelier qui emploie 60 salariés à Carhaix (Finistère).
Que représente votre champ d'activité ? Les ateliers protégés emploient 20 000 salariés, dont 18 000 personnes handicapées. Cet effectif a été multiplié par trois en 20 ans et pourrait être développé, sachant que 200 000 handicapés sont inscrits comme demandeurs d'emploi. Pour sa part, le Groupement des ateliers protégés-Union nationale des entreprises adaptées (GAP-UNETA) fédère 55 % des organismes gestionnaires, soit 60 % des salariés. Quelles propositions de réforme défendez-vous ? Notre congrès a réaffirmé la nécessité d'une loi pour redéfinir les missions et les moyens de nos entreprises à finalité sociale. En mai 2000, nous avons retenu cinq principes, repris dans la plate-forme interassociative adoptée l'an dernier (1), qui constituent toujours le socle de nos propositions. Nous souhaitons notamment voir établie…
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