« Comment sanctionner sans exclure davantage ? » C'est autour de cette interrogation que se sont rassemblés les magistrats, les professionnels des services pénitentiaires d'insertion et de probation (SPIP), des services sanitaires et sociaux, de la protection judiciaire de la jeunesse et de l'administration pénitentiaire sous l'égide de la Fédération nationale des associations d'accueil et de réinsertion sociale (FNARS) (1) et de l'Ecole nationale de l'administration pénitentiaire (ENAP). Souhaitant faire entendre la voix des aménagements de peine, des alternatives à l'incarcération et du nécessaire accompagnement social des personnes sous main de justice, ils sont convaincus, pour la plupart, que derrière ces sanctions d'un autre type se trouve…
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