Recevoir la newsletter

Recruter des contractuels à la PJJ : orientation « nostalgique »  ?

Article réservé aux abonnés

Faut-il ouvrir le recrutement des personnels de la protection judiciaire de la jeunesse  (PJJ) à des personnes extérieures, disposant d'une expérience sociale ? C'est en tout cas ce que propose un collectif depersonnalités et d'anciens professionnels de la PJJ afin d'améliorer la prise en charge des mineurs délinquants (1). Cette orientation ne fait pas l'unanimité si l'on en croit le courrier adressé, à titre individuel, aux ASH par Gérard Le Potier, éducateur au centre d'action éducative de Saint-Malo (2). Celui-ci y voit « une forme d'organisation de la précarité à partir d'une embauche très subjective, sans garantie au-delà de l'appréciation permettant d'intégrer celui ou celle “paraissant disposer des qualités physiques ou intellectuelles nécessaires à la prise en charge de mineurs en difficulté” ». Selon lui, les signataires de ces propositions sont mus davantage « par la nostalgie que par un souci d'objectivité, d'adaptabilité et de modernité ». « Ont-ils oublié que ces “contractuels” dont ils suggèrent le retour, entraient dans la fonction sans outils, sinon celui que constituaient leur personnalité, leur “force personnelle” et l'aide des collègues formés ? Combien de démissions ?…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

LE SOCIAL EN ACTION

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur