« Faire entendre la voix du service social de la protection judiciaire de la jeunesse »
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Publié le : Dernière Mise à jour : 18.09.2017Lecture : 2 min.
Créée il y a un an, l'Association nationale des assistants et conseillers techniques de service social de la protection judiciaire de la jeunesse (ANAC-PJJ) (1) souhaite défendre la spécificité de ces professionnels au sein d'une institution qui peine à entendre leur voix. Explications avec Bernadette Raybaud, conseillère technique à la direction régionale de la PJJ de Provence-Alpes-Côte-d'Azur et Corse et l'une des fondatrices de l'association.
Pourquoi avoir créé cette association ? Le personnel de service social a du mal à faire entendre sa voix. Nous sommes très minoritaires à la PJJ : environ 230, face à plusieurs milliers d'éducateurs. En outre, à la suite du rétrécissement du champ de l'hébergement, l'arrivée massive des éducateurs en milieu ouvert, terrain traditionnel et privilégié d'intervention des assistants de service social, a peu à peu entraîné des difficultés pour distinguer les rôles de ces deux corps, dont les métiers sont proches. Nous craignons de disparaître... Depuis plusieurs années, nous demandons à l'administration centrale de préciser ce qu'elle attend de nous. Dans…
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