La mise en œuvre de l'APA sous l'œil critique du Sénat
Article réservé aux abonnés
Publié le : Dernière Mise à jour : 26.07.2017Lecture : 2 min.
Dans une communication sur les décrets de la loi instituant l'allocation personnalisée d'autonomie (APA) (1), présentée le 20 février à la commission des affaires sociales du Sénat, André Lardeux, sénateur (RPR) et président du conseil général de Maine-et-Loire, a formulé un certain nombre de réserves sur le nouveau dispositif.Premier point : le fonds de financement de l'allocation « reste pour l'instant virtuel », ses conseils d'administration et de surveillance n'étant « toujours pas constitués ». En outre, le sénateur s'étonne de l'absence des collectivités locales au sein du conseil d'administration, « ce qui est tout de même curieux, s'agissant d'un fonds ayant pour mission de verser aux départements des sommes qui sont tout de même non négligeables ». Selon lui, le fonds de modernisation de l'aide à domicile est également « dépourvu de toute concrétisation », alors que l'objectif affiché par la secrétaire d'Etat aux personnes âgées, « est de former en 2002 au moins 4 000 aides à domicile supplémentaires et d'inscrire au moins 2 700 personnes dans un processus de validation des acquis » (2).Quant à l'ouverture de la nouvelle allocation aux personnes âgées classées en groupe…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques