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La commission nationale pour l'autonomie des jeunes travaille sur quatre scénarios

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Le prolongement des allocations familiales jusqu'à 22 ans accompagné d'un élargissement des conditions d'attribution des bourses de l'enseignement supérieur ;une allocation autonomie complétant les dispositifs actuels d'aide aux jeunes et aux familles ; une allocation autonomie conçue comme un « revenu social jeune »  ; une allocation formation définie en fonction de l'âge et pour une durée de cinq ans. Tels sont, selon un « document de travail provisoire » que s'est procuré l'agence de presse AEF (Agence éducation emploi formation), les quatre scénarios étudiés par la Commission nationale pour l'autonomie des jeunes, présidée par Jean-Baptiste de Foucauld, qui doit rendre son rapport fin mars.La première configuration entraînerait un surcoût compris entre 760 et 900 millions d'euros, dont 85 % seraient imputables à l'augmentation du coût des bourses. La deuxième reprend, dans ses grandes lignes, le rapport Thélot-Villac de 1998 (1) et consiste dans le versement, entre 20 et 21 ans, d'une allocation forfaitaire mensuelle de 122  €, imposable. Jusqu'à 20 ans, les dispositions fiscales et les aides familiales et sociales seraient maintenues. Et à partir de 22 ans, les jeunes deviendraient…
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