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Si le secteur de l'urgence se pérennise, les réponses aux situations d'urgence sociale sont encore trop souvent brèves et précaires. D'où la nécessité de revoir une certaine conception de l'urgence fondée sur la seule réponse provisoire.
23 600 places recensées, contre 15 000 il y a cinq ans, 1 500 professionnels de l'action sociale qui, avec les bénévoles, font fonctionner SAMU sociaux, centres d'hébergement, équipes d'écoute téléphonique « 115 », services d'accueil de jour... L'urgence sociale n'est plus seulement un mode d'intervention (réponse immédiate ou dans de très brefs délais à une situation de crise, de détresse, de danger), elle est devenue un champ à part entière de l'action sociale. L'étude réalisée par la direction générale de l'action sociale  (DGAS) sur ce secteur (1) l'atteste : non seulement les capacités d'accueil ont beaucoup augmenté en dix ans et les modalités d'accueil se sont diversifiées mais le dispositif s'est professionnalisé, structuré, institutionnalisé, notamment via la multiplication des dispositifs de coordination (commissions d'action sociale d'urgence, fonds d'aide aux jeunes...) instaurés pour partie…
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