Une promotion du parrainage répondant aux propositions du rapport Vergez
Article réservé aux abonnés
Publié le : Dernière Mise à jour : 03.09.2017Lecture : 2 min.
Le parrainage souffre « d'un déficit de connaissance et de reconnaissance » et « a besoin d'abord d'être identifié clairement dans ses objectifs et aussi dans ses limites ». C'est forte de ce constat dressé par le groupe de travail sur le parrainage dirigé par Marie-Dominique Vergez, présidente du tribunal pour enfants de Créteil, que Ségolène Royal a présenté, le 18 janvier 2002, plusieurs orientations pour promouvoir le parrainage. Lequel « a pour but de mettre en contact, en vue d'un engagement durable, des adultes perçus comme des proches dignes de confiance, avec des familles qui ont une demande pour leur enfant : demande d'ouverture sur l'environnement, demande d'espaces de dialogue, demandes d'échanges et de transmissions d'ordre social et culturel », explique ainsi l'auteur du rapport.Faisant écho à ses propositions, la ministre déléguée à la famille, à l'enfance et aux personnes handicapées a annoncé la mise en place d'un comité national de suivi du parrainage auprès du ministère de la famille, dont Marie-Dominique Vergez assurera la présidence. Il s'agit d'inscrire le parrainage dans la politique familiale du gouvernement comme « outil de prévention sociale », a assuré…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques