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Des propositions pour mieux connaître et mieux prévenir la maltraitance des personnes âgées

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Le plus souvent, c'est une femme, très âgée, veuve, obligée de vivre chez un membre de sa famille, pour des causes financières ou dans une institution, « pour des raisons sécuritaires imposées par l'entourage ». Tel est le portrait type de la personne âgée maltraitée dressé dans le rapport consacré à la prévention du phénomène que le professeur Michel Debout a remis, le 22 janvier, à la secrétaire d'Etat aux personnes âgées, Paulette Guinchard-Kunstler (1). Combien sont-elles ? Les principales données épidémiologiques proviennent de l'association Alma  (Allô maltraitance des personnes âgées) (2) qui a levé le voile sur le sujet. Créée il y a sept ans, elle dispose à ce jour de 26 centres d'écoute. Entre 1995 et 2000, ses antennes départementales ont reçu 16 400 appels, parmi lesquels 8 600 concernaient directement des situations de maltraitance. Mais elles ne couvrent qu'un quart du territoire. La mesure de la maltraitance - qui « résulte surtout de la difficulté à assumer en permanence une relation obligée à l'autre, qui peut user les deux protagonistes » -est également rendue difficile par la multiplicité de ses facettes (physique, psychologique, financière, par négligence...) et…
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