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La prise en charge du sida modulée selon les caractéristiques sociales

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Pour les personnes atteintes d'une infection à VIH, « l'hospitalisation complète est plus probable si leur logement est précaire, leur emploi peu stable, leur niveau d'études faible », indique un document de la direction de la recher- che, des études, de l'évaluation et des statistiques  (DREES) du ministère de l'Emploi et de la Solidarité (1), mettant en avant que le mode de prise en charge n'est pas seulement lié au stade clinique mais également à « certaines caractéristiques sociales ».Ces travaux (2) font aussi apparaître la précarité de ces patients face à l'emploi. Ainsi, leur taux de chômage se révèle « nettement plus élevé que dans la population générale »  : 23,4 % des hommes actifs de 25 à 50 ans de l'échantillon sont demandeurs d'emploi (contre 7,8 %) et 28,9 % des femmes (contre 11,6 %). Quant à ceux qui travaillent, ils occupent plus rarement un emploi stable : c'est le cas pour seulement 40 % des patients de 25 à 50 ans, alors que cette proportion atteint 73 % dans la population générale.D'une façon globale, parmi les patients âgés de 20 à 60 ans, seulement un peu plus d'un sur deux déclare tirer ses revenus principaux de son activité, de sa retraite ou d'indemnités…
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