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Des petits pas pour améliorer la vie des gens du voyage

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Il existe 5 000 à 10 000 places de station- nement accessibles aux gens du voyage pour 25 000 à 30 000 caravanes. Ce déficit de 15 000 à 20 000 places oblige les intéressés à s'installer dans des lieux non agréés, et souvent à s'imposer en grand nombre pour rendre l'expulsion plus difficile. Ce fait crée « une culture du rapport de force qui rejaillit sur l'ensemble des comportements. Tant que ce problème ne sera pas résolu, beaucoup de choses resteront difficiles. » Bientôt des aires d'accueil ? Au moment de rendre public le premier rapport de la Commission nationale consultative des gens du voyage (1), son président, Jean Blocquaux, inspecteur général des affaires sociales, a d'abord rappelé ce fait. Tout en se déclarant « raisonnablement optimiste », grâce aux effets attendus de la loi Besson de juillet 2000, qui oblige les départements à définir une politique d'accueil, dans des schémas départementaux qui doivent être remis le 1er janvier 2002 (2). Beaucoup auront un peu de retard, mais « l'horizon se dégage », estime le président. En tout cas, d'ici trois à cinq ans, des places devraient être créées par les départements - ou par les préfets qui pourront se substituer aux conseils…
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