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« L'absence de droit tue le droit. Et détruit le travail… »

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J ean-Yves Baillon, secrétaire général de l'Union fédérale de l'action sociale CGT, réagit vivement aux propos de Philippe Calmette, directeur général du Snapei et président de l'Unifed, sur les contraintes imposées par le droit du travail aux associations (1). S'élevant contre la vision purement gestionnaire de certains « patrons » et réaffirmant le caractère non lucratif du secteur social et médico-social.
« De tout temps, l'homme a mis en place des règles. Le XXe siècle, fort des luttes ouvrières importantes des deux siècles précédents, a édicté des “lois du travail”. Le point nouveau c'est que les patrons ne décident plus seuls. Il en naîtra les conseils de prud'hommes, le code du travail et les conventions collectives nationales. Ces lois sur le travail sont là pour garantir le cadre, les conditions de travail, et les rapports entre les parties. Comment un important responsable du secteur social et médico-social peut-il ignorer le lien évident entre conditions de travail et qualité du travail, c'est-à-dire la qualité de la prestation servie aux usagers ? Est-il utile de préciser…
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