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Le Comité d'éthique se penche sur le désir d'enfant des couples présentant un risque de transmission virale

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« Aider le couple, sans discrimination, tout en préservant au maximum l'avenir et l'intérêt de l'enfant »   : c'est la double obligation du médecin confronté au désir d'enfant d'une femme ou d'un couple séropositif, conclut le Comité consultatif national d'éthique pour les sciences de la vie et de la santé, dans son dernier avis du 8 novembre, sur « l'assistance médicale à la procréation chez les couples présentant un risque de transmission virale » (1).Le comité s'est d'abord penché sur la situation des couples sérodifférents dont la femme est séropositive pour le VIH. Couples qui doivent notamment être pleinement informés par leur médecin des données concernant les risques encourus par l'enfant (toxicité médicamenteuse, infection par le virus...). Leur attention doit également être attirée sur les incertitudes que continue de faire peser sur l'avenir de la mère l'évolution de la maladie.Mais, « quelles que soient les réserves exprimées à titre personnel par des médecins », insiste le comité, « le but de cette information, complète, claire et sans concession, doit préserver le libre arbitre du couple en lui permettant de prendre sa décision en toute connaissance de cause ». En…
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