Publié le : Dernière Mise à jour : 01.08.2017Lecture : 1 min.
Bien, mais peut mieux faire. C'est ainsi que l'on peut résumer la position de l'Union nationale des associations de parents et amis de personnes handicapées mentales (Unapei), le 19 novembre, à la sortie du Conseil national consultatif des personnes handicapées. Lors de cette réunion, Ségolène Royal a rappelé les orientations de sa politique en matière de handicap, confirmé la mise en place de nouvelles places pour les autistes et annoncé la création d'une mission sur les conditions de vie des étudiants handicapés (1). A son programme également, deux manifestations médiatiques :l'organisation, le 26 janvier 2002, d'une journée réussite et handicap à la Cité des sciences et de l'industrie de la Villette et, les 19 et 20 février, d'un colloque « Vivre la cité : accessibilité pour tous » à l'Unesco.Encourageantes, toutes ces orientations sont toutefois « bien en dessous de ce que nous demandons », explique Patrick Gohet, « à savoir le doublement des plans quinquennal et triennal d'action pour les handicapés ». Le directeur général de l'Unapei (2) insiste en outre sur la complexité des procédures pour créer de nouvelles structures. « Quand on pense qu'il faut sept à huit ans pour réaliser…
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