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La lutte contre l'exclusion dans une société plus libérale

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En optant pour une logique « d'inclusion sociale » avec le second programme de prévention et de lutte contre l'exclusion sociale, le gouvernement n'évite pas le risque de passer à côté des plus éloignés de l'emploi, analyse Michel Legros, responsable du département politiques sociales à l'Ecole nationale de la santé publique (1).
Comment s'est passée l'articulation du RMI avec la loi contre les exclusions ? En juillet 1998, la loi contre les exclusions n'a pas repris le dispositif du revenu minimum d'insertion [RMI] en tant que tel. Il s'agissait d'aller plus loin, d'ouvrir des chantiers en matière d'accès aux droits, de répondre à la question des exclusions en mettant notamment l'accent sur le droit au travail. En 2001, les choses ont évolué : la situation de l'emploi s'est améliorée et on a, dans certains secteurs, du mal à recruter de la main- d'œuvre ;mais parallèlement, on s'aperçoit que les personnes les plus désinsérées ne bénéficient pas de la reprise. C'est pourquoi dans le second programme de prévention et de lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale (2) - qui contrairement au précédent…
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