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L'Unassad attend encore pour être rassurée

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« Colère », « révolte », « mépris »  : les adhérents de l'Union nationale des associations de soins et services à domicile (Unassad)   (1) étaient plutôt remontés lors de leur congrès, organisé à Clermont- Ferrand les 8 et 9 novembre. Leur présidente, Christiane Martel, parle d'une « profession sinistrée », qui a « dépassé le s limites de la patience ». « Notre pays se déshonore en acceptant de se défausser sur des personnes mal payées pour s'occuper des plus faibles », ajoute-t-elle. Qu'il s'agisse des salaires des aides à domicile (avec une grille qui les maintient 16 ans au SMIC), de l'absence d'indemnité kilométrique ou de l'application de la réduction du temps de travail, les congressistes attendaient des « décisions franches ». Ils ne les ont pas obtenues sur le champ, d'où l'accueil plutôt froid réservé à Elisabeth Guigou et la « déception » exprimée après son intervention.La ministre de l'Emploi et de la Solidarité a cependant reconnu avoir « mal estimé l'augmentation nécessaire » de la participation financière de la caisse nationale d'assurance vieillesse (CNAV) pour permettre le passage aux 35 heures. Elle a assuré qu'elle mettrait tout son poids pour que le prochain…
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