Le plan sur la santé mentale : un bon début selon les associations
Article réservé aux abonnés
Publié le : Dernière Mise à jour : 26.07.2017Lecture : 2 min.
Le plan était attendu depuis longtemps, et il n'a pas déçu les acteurs associatifs du secteur de la santé mentale. Les mesures annoncées le 14 novembre par le ministre délégué à la santé, Bernard Kouchner (1) constituent « un premier pas », estime Jean Canneva, président de l'Union nationale des amis et familles de malades mentaux (Unafam) (2), qui se réjouit qu' « une partie du message » du livre blanc qu'elle a rendu public en juin avec sept autres organisations (3) ait été entendu. « Notre position est que l'on n'a pas le droit d'abandonner les malades psychiques dans la nature, qu'il faut les accompagner, et de façon spécifique étant donné la variabilité de leur handicap. Ce plan est un début », poursuit Jean Canneva.L'Unafam, cependant, entend bien continuer à mener un travail collectif avec les élus- « car 90 % des patients sont dans la cité » - et les professionnels pour « offrir un accompagnement humain à ces gens très fragiles ». Et « surveiller de très près » les moyens qui vont être mis en place pour la réalisation, sur le terrain du plan Kouchner.La Fédération française de santé mentale (FFSM) (4) estime, de son côté, par la voix de son président, Roland Broca,…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques