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La formation linguistique et professionnelle des réfugiés statutaires

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En application de la convention de Genève de 1951, la France accueille chaque année plusieurs milliers de réfugiés en grande majorité non francophones. Une population dont la maîtrise minimale de la langue française constitue une condition déterminante pour une insertion sociale réussie. Jusqu'en 2000, les crédits destinés à la formation linguistique et professionnelle de ces « réfugiés statutaires »   (1) étaient gérés par deux services distincts, selon que les intéressés étaient hébergés ou non en centre provisoire d'hébergement  (CPH)  : la direction de la population et des migrations, d'une part (2) et la délégation générale à l'emploi et à la formation professionnelle, d'autre part (3). Depuis cette année, c'est la direction de la population et des migrations qui assure la maîtrise de l'ensemble de ces actions de formation. Elle demande aujourd'hui aux préfets de procéder à un appel à projets pour sélectionner les actions de formation destinées aux réfugiés non hébergés en centre provisoire d'hébergement. Avec, comme consigne, de passer rapidement des conventions avec les organismes retenus, « afin que les actions puissent démarrer au cours du dernier trimestre de l'année 2001 »,…
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