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Les « clandestins » de l'action socio-éducative

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Trente ans après leur reconnaissance officielle, les équipes et clubs de prévention veulent sortir de l'ombre. Peu connus, mais souvent interpellés, ils cherchent aujourd'hui à rendre leur action plus lisible.
« Mais où sont donc les éducateurs de prévention ? » Pas là le week-end, ni la nuit pour ramener chez eux les mineurs de moins de 13 ans, entend-on ici. Pas là quand les poubelles ou les voitures flambent, s'indigne- t-on là. Plus assez « sur le terrain », se plaignent régulièrement quelques élus, ou encore « trop peu présents dans les dispositifs “Ville- Vie-Vacances” », selon le ministre de la Ville, Claude Bartolone, lui-même. Assez paradoxalement, les « éducs de prev' » sont aussi promptement dénoncés pour leur absence supposée qu'ignorés, peu connus, et mal reconnus dans leur présence quotidienne auprès des populations.Absents ? Le reproche est « facile », soit, mais il n'est pas anodin. Il s'adresse, en effet, à des équipes qui revendiquent « une permanence de la présence » comme l'une de leur spécificité. « Une présence fréquente et régulière, aller vers et être avec » font partie des positionnements fondateurs du métier.…
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