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Le plan français de lutte contre l'exclusion jugé satisfaisant par Bruxelles

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La Commission européenne a publié, le 10 octobre, son rapport sur les plans nationaux sur l'inclusion sociale (1). Cette publication constitue la première application de la stratégie décidée au sommet de Lisbonne, en mars 2000, pour lutter contre l'exclusion au niveau européen (2). Le rapport identifie une série de risques, de trappes de pauvreté :outre le chômage, le manque de qualifications, il peut s'agir du milieu familial, du handicap, de l'usage de drogues, de la discrimination raciale. L'accent est mis sur les « nouveaux risques »  :l'allongement de la vie, la croissance des tensions ethniques, culturelles ou religieuses, et le développement de la société de l'information. Un point majeur pour la commissaire européenne en charge des affaires sociales, Anna Diamantopoulou, qui estime que « nous devons exploiter les nouvelles technologies pour combattre et prévenir l'exclusion sociale ».La Commission européenne analyse également les plans que les Etats membres lui ont soumis. Elle remarque particulièrement les plans français, néerlandais et danois comme « de bons exemples d'une approche stratégique  ». En revanche, les plans présentés par la Grèce ou l'Autriche ne trouvent pas…
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