RTT : les négociations sont renvoyées aux directions du ministère
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Publié le : Dernière Mise à jour : 04.08.2017Lecture : 1 min.
Après les mobilisations de l'ensemble des syndicats représentés au sein du ministère de la Justice lors des journées d'action des 25 septembre et 4 octobre (1), Marylise Lebranchu a reconnu qu'il n'était pas possible de s'entendre sur un accord-cadre d'aménagement et de réduction du temps de travail (ARTT) à la chancellerie. Elle a également renvoyé directement l'application du décret du 25 août 2000 sur l'ARTT dans la fonction publique d'Etat (2) à des négociations dans chaque direction de son ministère (protection judiciaire de la jeunesse (PJJ), administration pénitentiaire...).C'est ainsi que, le 9 octobre, dans la « branche » PJJ, ont été abordées les dérogations à la norme des 1 600 heures fixée par le décret, les congés compensateurs pour sujétion particulière, les dérogations aux garanties minimales dans l'organisation du travail, les temps de pause... Par ailleurs, l'idée d'une « évaluation des besoins tant quantitatifs que qualitatifs en termes de création d'emplois » prévue par le projet d'accord-cadre ministériel n'est pas abandonnée. Il va être demandé à chaque directeur régional de la PJJ de faire un point sur les effectifs. Un document national devrait être disponible…
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