Recevoir la newsletter

Justice pour les victimes du travail

Article réservé aux abonnés

A l'appel de la Fédération nationale des accidentés du travail et des handicapés  (FNATH)   (1) et de l'Association nationale de défense des victimes de l'amiante, de 6 000 à 10 000 personnes (selon les sources) ont manifesté, le 29 septembre à Paris, pour « la réparation intégrale et la justice pour toutes les victimes » des accidents du travail et des maladies professionnelles (2). Une semaine après la catastrophe de Toulouse, Marcel Royer, secrétaire général de la FNATH, a souligné « le paradoxe de la législation actuelle  : une victime [étrangère à l'entreprise AZF] qui se trouvait aux abords de l'usine lors de l'explosion sera mieux indemnisée qu'un salarié atteint à l'intérieur du bâtiment ».La Fédération des mutuelles de France et l'Union syndicale des médecins des centres de santé apportent leur soutien à la mobilisation. Le Syndicat du ministère du travail, de l'emploi et de la formation  (Syntef-CFDT), « professionnellement trop familier » des « conditions actuelles de réparation des victimes et de prévention », fait de même en soulignant « la modicité des moyens que l'Etat prend pour faire en sorte que les employeurs respectent leurs obligations en matière de risques…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

LE SOCIAL EN ACTION

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur