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Avoir mal et faire mal

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C'est une approche peu banale des violences en famille et en institution que propose Catherine Selleret. En effet, le point de vue choisi n'est pas celui des enfants victimes - priorité presque exclusive jusqu'alors - mais des adultes, parents maltraitants et professionnels.Maître de conférences à Nantes, l'auteur s'appuie sur un travail antérieur de dix ans en tant que psychologue à l'aide sociale à l'enfance, et cela se sent : son propos reste toujours proche du terrain et accessible dans cette recherche menée auprès de parents et de professionnels de l'Association départementale de la sauvegarde de l'enfance et de l'adolescence de la Loire-Atlantique.Elle s'interroge d'abord sur la violence elle-même - dont les limites acceptables ont beaucoup varié dans le temps -et qui reste une « notion non consensuelle ». Sans doute parce qu'elle se love en chacun de nous et qu'elle interroge tous les repères sociaux, « les frontières entre le permis et l'interdit [...] mais aussi entre le public et le privé ». D'où, malgré les évolutions récentes, l'aveuglement qui persiste encore trop souvent et la lenteur de nombre d'interventions.Comment les parents à qui la garde des enfants a été retirée…
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