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35 heures : la prévention spécialisée demande une dérogation

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Après la mise en place de la réduction du temps de travail, quelle peut être la réponse d'une association au projet d'un éducateur de partir une semaine en vacances avec cinq jeunes de sa banlieue ? C'est la question posée, sous forme d' « énigme de l'été », dans une lettre adressée à la ministre de l'Emploi et de la Solidarité, par le service de prévention spécialisée de la Sauvegarde de l'enfance et de l'adolescence du Rhône (1).Pour respecter à la lettre les règles d'amplitude journalière, de temps de repos entre deux journées de travail, de cumul hebdomadaire et de prise de congés sur place, il faudrait mobiliser quatre éducateurs, calcule la Sauvegarde. Impossible, évidemment. Doit-elle réduire la durée du séjour ? Elle perd alors le bénéfice des bons vacances de la caisse des allocations familiales (attribués à partir de cinq nuits).Après un été où il a « fallu trouver des solutions au jour le jour », Irène Jouvanceau, directrice du service, relance ainsi la question déjà formulée par le Comité national de liaison des associations de prévention spécialisée (2). Comment préserver la souplesse du temps de travail indispensable à l'organisation des activités et maintenir la continuité…
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