Publié le : Dernière Mise à jour : 01.08.2017Lecture : 3 min.
La médiation sociale est en passe d'être reconnue comme un métier à part entière. Le ministre délégué à la ville, Claude Bartolone, a en effet annoncé, le 14 juin, la prise en compte dans la fonction publique territoriale du métier de médiateur social, ainsi que la création de nouveaux diplômes.En plus des quelque 7 000 agents locaux de médiation sociale, recrutés sous contrats emploi-jeunes et dans le cadre des contrats locaux de sécurité, sont concernés les délégués du médiateur de la République, les correspondants de nuit (au moins 500 sous divers statuts, employés par des régies de quartiers, des organismes HLM ou encore des municipalités), les femmes-relais (environ un millier de bénévoles, vacataires ou emplois aidés dans des associations) ainsi que les adultes-relais (1), les médiateurs citoyens bénévoles, et les milliers d'emplois-jeunes ou de personnes embauchées sous divers statuts par des collectivités locales, des sociétés de transport public, des organismes HLM, de grandes entreprises publiques ou encore des associations.Bien qu'ayant prouvé leur efficacité, la plupart de ces acteurs sont menacés de disparition, selon les conclusions d'un groupe de travail sur la médiation…
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