Recevoir la newsletter

« Il faut dépasser le mur de l'encadrement »

Article réservé aux abonnés

Dernière séance, le 18 juin, pour le Conseil supérieur du travail social (CSTS), qui achève son quatrième mandat. A 74 ans, Jacques Ladsous, véritable cheville ouvrière de cette instance, a décidé de ne pas représenter sa candidature à la vice-présidence. Regard sur le CSTS mais aussi sur l'évolution du travail social.
Actualités sociales hebdomadaires : Quel bilan dressez-vous du CSTS ? Jacques Ladsous : Il me paraît plutôt positif. Je crois que le CSTS s'est cherché pendant quelque temps. Au début, c'était un outil assez formel. Et puis devant l'ampleur des sujets proposés et des discussions qui se sont engagées dans les groupes de travail, il est devenu une assemblée qui débat. C'est un peu, pour moi, un instrument de la démocratie sociale au sens où l'expression est totalement libre. C'est une instance où des professionnels de terrain tentent de réfléchir ensemble afin d'orienter le travail social. Je ne sais pas, sincèrement, si les ministres se servent beaucoup de ces travaux, mais ceux-ci sont très attendus sur le terrain. De fait, on peut s'interroger sur l'intérêt que les ministres en charge des affaires sociales portent aux…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

LES ACTEURS

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur