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Les directeurs dénoncent l'insuffisante revalorisation de leur fonction

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Obtenu de guerre lasse à l'issue d'une forte et longue mobilisation des acteurs, l'avenant 265 revalorisant le statut des cadres de la convention collective du 15 mars 1966 n'a pas fini de faire parler de lui (1). La Fédération nationale d'associations de directeurs d'établissements et services des secteurs sanitaire, social et médico-social sans but lucratif  (Fnades)   (2) dénonce ainsi le « traitement discriminatoire » dont ils sont l'objet alors qu'ils ont vu croître leurs responsabilités. Les directeurs et directeurs adjoints se voient, selon elle, octroyer une « garantie minimum personnelle de reclassement » qui, si l'on prend en compte le fait qu'ils n'avaient pas bénéficié de la hausse générale des salaires de 8,21 % en 1993, « réduit à une peau de chagrin - 3 à 4 % - les effets de cet avenant ». Fortement décidée à se mobiliser, l'organisation demande la suppression de la garantie minimum personnelle de reclassement qui « annule la véritable revalorisation de la fonction ».Notes(1)  Voir ASH n° 2172 du 23-06-00.(2)  Fnades : 26, rue des 36-Ponts - 31400 Toulouse - Tél. 05 61 14 89 78.
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