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La procédure d'adoption parfois en butte à la corruption

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En matière d'adoption en France, « la corruption, le trafic d'influence ou des dérives similaires existent. Celles-ci peuvent survenir à toutes les étapes du projet d'adoption jusqu'à la remise de l'enfant. La notion de corruption et sa matérialisation financière est généralement acceptée par les adoptants et érigée en usage ou en coutume dans certains pays principalement pour l'adoption internationale. » Un jugement porté, dans son rapport 2000, par le service central de prévention de la corruption qui dépend du ministère de la Justice (1). Dès la phase de l'aide médicale à la procréation, des « entorses à la légalité » sont à craindre, dénonce le document (achats d'enfants à des mères porteuses, d'embryons, honoraires prohibitifs de professionnels de santé pour réaliser des implantations d'embryons ou d'ovocytes en nombre supérieur à celui autorisé...). Mais, au-delà, des fraudes sur l'état civil de l'enfant et de ses parents d'origine ou d'adoption ont pu être recensées. Et « il n'est pas rare de voir des accords dans lesquels le consentement est vicié ou des enfants purement et simplement donnés contre l'avis de la famille en échange de fortes sommes d'argent », poursuit le rapport.…
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