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« Les travailleurs sociaux n'ont pas l'habitude des situations de crise »

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132 communes sinistrées, 1 162 personnes évacuées, tel est le dernier bilan des inondations dans la Somme. A l'hôpital d'Abbeville, l'une des villes les plus durement touchées, une cellule de soutien psychologique (1) a été mise en place dès le début du mois d'avril. Aux côtés des psychologues, psychiatres et infirmiers qui y participent, quelques travailleurs sociaux. Parmi eux, Anne-Sophie Boclet, assistante sociale au service social de l'hôpital d'Abbeville.
Comment, en tant que travailleur social, vous êtes-vous inscrite dans l'action de la cellule de soutien psychologique ? Le premier travail de l'assistante sociale est un travail d'entretien et d'écoute. Si j'ai souhaité m'investir, c'est parce que je pensais justement être en mesure de répondre, par cette écoute essentiellement, aux premiers besoins. Je me suis donc portée volontaire avec une collègue. Appelées en urgence par les pompiers, les gendarmes, les psychologues, nous sommes intervenues auprès des sinistrés, à leur domicile ou dans les foyers et les centres d'accueil où ils sont hébergés. Sur le terrain, nous avons rencontré des gens…
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