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A Bordeaux, un « collectif inter AEMO » se mobilise

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La réduction du temps de travail n'est pas forcément synonyme d'allégement de la charge de travail. A Bordeaux, des salariés se sont regroupés en « collectif inter AEMO » pour obtenir une révision de leur quota de mesures de suivi. Courriers, pétitions, grève n'ont pas suffi à faire plier les financeurs.
« Nous nous sommes mobilisés parce que nous éprouvions une lassitude de la surcharge de travail. Déjà, à 39 heures, nous étions insatisfaits de la qualité de notre action éducative en milieu ouvert » (AEMO). A l'instar de France Chaumeil, élue au comité d'entreprise, des travailleurs sociaux de l'Association girondine d'éducation spécialisée et de prévention sociale (AGEP) (1) ont décidé de prendre les devants dès que la première loi Aubry est parue : « Nous avions très peur de souffrir des 35 heures, nous craignions que les embauches ne soient pas à la hauteur de la baisse du temps de travail. Nous avons donc engagé une réflexion pour anticiper les négociations et devenir une force de proposition », explique Lionel Peyrout, délégué syndical CGT.Initiative originale, les salariés de l'AGEP contactent leurs collègues des autres services…
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