Publié le : Dernière Mise à jour : 02.08.2017Lecture : 1 min.
Difficultés de financement de la réduction du temps de travail, blocage des salaires, paiement des heures de nuit, passage aux 35 heures des salariés à temps partiel, réglementation des transferts et des repos, exécution complexe de l'avenant 265 sur la revalorisation du régime des cadres : le Groupement national des directeurs généraux d'associations du secteur éducatif, social et médico-social (GNDA) (1), à l'instar du Syndicat national des associations pour la sauvegarde de l'enfant à l'adulte (2), dénonce une longue liste de problèmes dans la mise en place des lois Aubry.Mais surtout, « il existe un hiatus entre des initiatives nationales qui sont construites et la valorisation des enveloppes fermées ; cela risque de conduire à des insatisfactions et des tensions grandissantes : entre professionnels et associations, entre associations et financeurs », analyse le GNDA. Sans compter les flous persistants dans les textes - sur les heures de nuit, par exemple - qui « polluent le dialogue social et mettent à l'arrière-plan les projets des structures ». Les directeurs demandent donc que les associations soient reconnues « plus clairement dans leur fonction d'employeur, avec la…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques