Recevoir la newsletter

La complexité des 35 heures pointée par le GNDA

Article réservé aux abonnés

Difficultés de financement de la réduction du temps de travail, blocage des salaires, paiement des heures de nuit, passage aux 35 heures des salariés à temps partiel, réglementation des transferts et des repos, exécution complexe de l'avenant 265 sur la revalorisation du régime des cadres : le Groupement national des directeurs généraux d'associations du secteur éducatif, social et médico-social  (GNDA)   (1), à l'instar du Syndicat national des associations pour la sauvegarde de l'enfant à l'adulte (2), dénonce une longue liste de problèmes dans la mise en place des lois Aubry.Mais surtout, « il existe un hiatus entre des initiatives nationales qui sont construites et la valorisation des enveloppes fermées ; cela risque de conduire à des insatisfactions et des tensions grandissantes : entre professionnels et associations, entre associations et financeurs », analyse le GNDA. Sans compter les flous persistants dans les textes - sur les heures de nuit, par exemple - qui « polluent le dialogue social et mettent à l'arrière-plan les projets des structures ». Les directeurs demandent donc que les associations soient reconnues « plus clairement dans leur fonction d'employeur, avec la…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

LE SOCIAL EN ACTION

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur