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« Les travailleurs sociaux au risque de la politique de la ville »

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Les professionnels du travail social doivent investir la politique de la ville mais ne pas cautionner son « approche sécuritaire », estime Alain Bonneaud, animateur de développement social, en réaction à la publication du rapport Brévan-Picard (1) et à celle d'un récent article des ASH sur les « métiers » de la ville (2).
« Le rapport Brévan-Picard œuvre-t-il vraiment pour le rapprochement réciproque du travail social et de la politique de la ville ? A-t-on le droit d'en douter ? La politique de la ville se pose aujourd'hui en référence obligée de l'intervention sociale globale dans les sites de l'exclusion, creuset de toutes les politiques publiques : urbanisme et rénovation urbaine, services publics de proximité, logement social, insertion sociale, professionnelle et économique, éducation, prévention, sécurité, culture, santé, action sociale, participation des habitants. Dans le cadre de l'incontournable loi d'airain du marché, c'est elle qui a la redoutable charge “d'enrayer la marginalisation de pans entiers de la ville” et de “répondre au problème…
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