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Zones d'attente : nouveau bilan critique des associations

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« Il a été constaté, à de nombreuses reprises, que les droits des personnes maintenues étaient bafoués, des demandes d'asile n'étaient pas enregistrées [...] et le recours à la violence était de plus en plus fréquent. » C'est le bilan, toujours aussi accablant, que dresse, cette fois encore, l'Association nationale d'assistance aux frontières pour les étrangers  (Anafé)   (1), dans un rapport sur ses visites dans les zones d'attente de Roissy, rendu public le 3 avril. Celui-ci est dans le droit fil du constat réalisé par Louis Mermaz, qui avait assimilé ces lieux à des « horreurs de notre République » (2). De mauvaises conditions d'hébergement Comme l'année passée (3), trois associations habilitées (Anafé, Amnesty international et la Cimade) ont effectué - malgré quelques entraves - des visites rapprochées dans les aérogares et les zones d'hébergement, de novembre 2000 à mars 2001. Certes, l'ouverture, en janvier 2001, de la nouvelle zone « Zapi 3 », en remplacement des deux étages de l'hôtel Ibis loués par le ministère de l'Intérieur, a amélioré les conditions globales d'hébergement, reconnaissent les auteurs du rapport. Toutefois, celles-ci sont loin d'être normales et les associations…
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