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Peut-être une « enveloppe d'urgence » pour les étudiants

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Ils étaient environ 1 500 « au pic de la manifestation » du 30 mars à Paris, selon le mouvement national des étudiants travailleurs sociaux (1). Une mobilisation plutôt réussie si l'on tient compte des grèves de la SNCF, qui, ce jour-là, ont sans doute empêché une bonne partie des étudiants de province de venir dans la capitale (2).Une délégation de 12 personnes, dont six étudiants et des représentants des organisations syndicales (SUD, CGT) et des associations qui les soutiennent (Association nationale des assistants de service social, Education et société, Syndicat national unitaire des assistants de service social d'Ile-de-France/FSU, Fédération nationale des éducateurs de jeunes enfants), a été reçue à l'issue de la manifestation par Sylviane Léger, directrice générale de l'action sociale. Prochain rendez-vous, mi-mai Les discussions « ne permettant aucune avancée » par rapport au rendez-vous du 29 janvier, la délégation a demandé à être reçue par un membre du cabinet d'Elisabeth Guigou. Le vœu a été exaucé trois heures plus tard. Résultat de cette rencontre : «  une éventuelle enveloppe d'urgence qui répondrait aux problèmes de précarité des étudiants et au défraiement des stages…
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