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IVG : l'allongement du délai implique des moyens supplémentaires

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Lors des débats sur le projet de réforme de la loi Veil sur l'interruption volontaire de grossesse  (IVG)   (1), entamés le 27 mars au Sénat, les élus de l'opposition se sont appuyés sur les précautions particulières qu'exige l'allongement du délai au-delà de 12 semaines d'aménorrhée (dix semaines de grossesse) pour contrer le texte gouvernemental.En prévision de l'examen du projet de loi, le sénateur centriste Claude Hurriet (Meurthe-et-Moselle) a envoyé, en février, un questionnaire à 200 centres d'orthogénie répartis sur toute la France. 132 ont répondu, en majorité des centres hospitaliers publics (seulement 32 cliniques privées), et sans doute les équipes les plus inquiètes des conséquences de l'allongement des délais. Des médecins mieux formés Au-delà de l'utilisation politique qui en est faite, cette enquête révèle que l'allongement des délais nécessite des adaptations et des moyens supplémentaires. En effet, les deux tiers des centres s'étant exprimés estiment qu'ils ne pourront pas prendre en charge les IVG tardives. 47 d'entre eux précisent même qu'il transféreront les personnes dans « un centre mieux équipé ». Les équipes justifient surtout leur refus par des raisons médicales :…
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