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La réinsertion au cœur de la future loi pénitentiaire

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Le conseil d'orientation stratégique, installé en février pour lancer la réflexion sur la future loi pénitentiaire (1), s'est réuni pour la deuxième fois le 21 mars. Les grands axes de travail, définis notamment sur la base des propositions des rapports des commissions d'enquête du Parlement (2), ont été présentés à cette occasion.La future loi devra ainsi veiller à définir le sens de la peine - la prison devant être considérée comme dernier recours - et à affirmer l'objectif d'insertion et de réinsertion. « Il importe de permettre au condamné de passer de l'imputation d'un acte pénalement sanctionné à la gestion d'un temps utile, éventuellement carcéral », explique le ministère. Une attention particulière devra, à cet égard, être portée à la situation des personnes incarcérées vieillissantes, présentant des troubles du comportement ou des maladies graves, ainsi qu'aux mineurs.Les missions du service public pénitentiaire seront redéterminées autour de trois types de fonctions : la garde ou le contrôle, en milieu ouvert (avec notamment une réglementation attendue pour le placement sous surveillance électronique) et fermé, l'entretien et l'accompagnement (accueil, observation et information…
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