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Composition pénale : des directeurs d'associations contestent le décret

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Dans une lettre adressée aux ASH, le Groupement national des directeurs généraux d'associations du secteur éducatif, social et médico-social (GNDA) (1) critique vertement le décret paru le 30 janvier, définissant les conditions de mise en œuvre de la composition pénale.Le texte précise notamment que lorsqu'une association est désignée par le procureur de la République pour exercer une mission de délégué ou de médiateur afin d'appliquer des mesures alternatives (réalisation d'un travail non rémunéré, par exemple), seules les personnes physiques personnellement habilitées peuvent intervenir (2). Ce décret, «  en surajoutant habilitation des personnes morales et physiques  » « ne prend aucunement en compte la place des associations » qui exerçaient jusqu'ici une évaluation et un contrôle « souvent parfaitement construits » sur leurs salariés, déplore le GNDA. Le Comité de liaison des associations du champ judiciaire fait d'ailleurs la même critique (3).En outre, «  ce décret ne dit rien des formations et compétences nécessaires à ces missions, ni sur leur contrôle et leur évaluation  », s'étonne le GNDA. Par ailleurs, le financement prévu ne rémunère pas correctement le travail fourni…
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