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Internat : une identité malmenée

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Comment préserver la continuité éducative en internat tout en respectant les contraintes imposées par les lois Aubry ?Educateurs spécialisés et directeurs d'établissements sont en plein dilemme. Troisième volet de notre enquête sur les 35 heures (1) .
«  Avec la mise en place des 35 heures, soit nous nous enfonçons davantage dans l'illégalité, soit nous supprimons les transferts, les week-ends, les accompagnements individuels », bref, tous les outils spécifiques au travail éducatif en internat. Christine Vigean, directrice du foyer éducatif spécialisé La Maison, à Buc (Yvelines), résume bien le dilemme auquel sont confrontés les travailleurs sociaux de ce secteur.En effet, les lois Aubry intègrent les contraintes de temps de travail inscrites dans les directives européennes : pause toutes les six heures, neuf heures de repos entre deux séquences de travail, 12 heures de travail quotidien au maximum (si dérogation), etc. « L'usager pourra-t-il mettre en suspens sa détresse pendant les 20 minutes de pause réglementaire ? », demande, sarcastique, l'Association varoise pour la réadaptation sociale (2).…
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